Anatomie
et physiologie de la peau
La peau n'est pas seulement cette enveloppe externe isolant le corps humain. Elle est l'interface qui régule les multiples échanges avec notre environnement, tout à la fois imperméable aux éléments pathogènes et perméable aux actifs bénéfiques à sa santé et à sa beauté. Malheureusement, elle trahit avant tous les autres organes la lente érosion caractéristique du vieillissement, devenant progressivement plus mince et plus sèche, ce qui la rend moins élastique, moins tonique. Heureusement, il est possible de ralentir ce processus en utilisant par exemple au quotidien pour sa toilette Le Royal, authentique " soin dermoprotecteur ". La
peau comprend 3 couches superposées:
Les cellules de l'épiderme se multiplient continuellement très vite : il faut seulement 28 jours pour qu'une cellule parvienne de la couche basale jusqu'en surface où elle meurt puis tombe. Oui, l'épiderme se renouvelle en moins d'un mois !
D'autres
macromolécules, nommées glycosaminoglycanes, remplissent
l'espace extracellulaire sous la forme d'un gel qui assure la cohérence
du tissu dermique en se liant intimement au collagène et à
l'élastine. Le derme contient également :
Le derme comprend également des structures annexes :
Nous le voyons, le derme est l'horizon prépondérant de la peau, celui qu'il convient de nourrir, d'hydrater, de revitaliser et de régénérer, autant de fonctions que contribue à remplir le " soin dermoprotecteur " Le Royal.
Une fonction- régulatrice dans l'indispensable maintien d'une température interne constante (environ 37 °).
Une
fonction sensitive, les terminaisons des fibres nerveuses de la peau informant
l'organisme quant à la douleur ou au plaisir induits par le toucher. Les
rides peuvent apparaître dès la trentaine ! Ce sont tout
d'abord de très minces lignes qui se dessinent entre le nez et
la bouche, au niveau des yeux et sur le front. Puis surviennent les rides
dites " d'expression " qui correspondent aux mouvements expressifs
du visage : rides péribuccales (de part et d'autre de la bouche),
plis du front, pattes d'oie (rides divergentes à l'angle externe
des yeux). Les
paupières tombantes et les bajoues sont les autres signes de ce
relâchement, la peau n'étant plus suffisamment élastique
pour compenser les effets du relâchement. La perte en eau n'est
pas la seule cause du vieillissement de la peau. Un radical libre est une molécule qui possède sur son orbite externe un nombre impair d'électrons. L'électron libre (célibataire, en quelque sorte, alors que tous les autres électrons qui gravitent autour du noyau vont toujours par paire) n'a qu'un seul but, dévoyer un autre électron, sur l'orbite d'une molécule voisine (qui est stable, elle), pour s'associer avec lui et former une paire, un couple pour reprendre l'image précédente. Le problème est le suivant : lorsqu'un électron est arraché à sa molécule d'origine par un électron libre cette molécule devient instable. L'électron libéré par la fuite de celui qui a quitté son orbite va chercher à son tour un électron sur une molécule voisine, et ainsi de suite : une véritable réaction en chaîne affecte alors le tissu au sein duquel ce processus se développe. Cette
réaction en chaîne qui déstabilise le milieu au sein
duquel elle s'opère provoque une oxydation des cellules, ce qui
accélère leur processus de vieillissement. Pour simplifier,
on peut comparer cette oxydation à la rouille qui attaque la carrosserie
d'une voiture, signe de son vieillissement. Une cellule oxydée
est une cellule rouillée. Heureusement, de la même façon
que l'on peut protéger une carrosserie avec un produit, on peut
protéger les cellules contre l'oxydation avec des compléments
alimentaires anti-oxydants. Les
tissus les plus exposés sont les membranes des cellules car elles
sont riches en lipides (principalement en phospholipides) lesquels sont
très fragiles. En effet, les longues chaînes moléculaires
des acides gras qui constituent les lipides présentent des signes
de faiblesse au niveau des doubles liaisons entre les atomes de carbone,
lorsqu'il y a insaturation en hydrogène. Ces doubles liaisons fixent
facilement l'oxygène libre. Cette oxydation lipidique provoque
un phénomène que l'on connaît bien dans l'alimentation,
le rancissement. Un corps gras rance est impropre à la consommation. On distingue plusieurs espèces de radicaux libres :
On désigne les réactions en chaîne oxydatives sous le terme de cascades radicalaires. Ainsi, pour reprendre l'exemple précédent, lorsque l'oxygène libre est fixé au niveau des doubles liaisons des acides gras insaturés omniprésents dans les membranes cellulaires, il se forme des radicaux carbonés qui à leur tour entraînent des désordres en cascade. On appelle cela la péroxydation lipidique. Une
membrane péroxydée ne remplit plus parfaitement sa fonction
principale qui est de faciliter l'osmose, c'est à dire les échanges
du milieu extracellulaire vers la cellule (pour nourrir celle-ci) et du
milieu intracellulaire vers l'extérieur (pour évacuer les
déchets métaboliques). Les cellules aux membranes péroxydées
sont imparfaitement nourries, et asphyxiées par l'accumulation
de leurs propres déchets. Leur vieillissement en est accéléré.
II en est ainsi lorsque les radicaux libres détruisent l'architecture
moléculaire du derme en s'attaquant aux cellules constituant les
protéines de collagène et d'élastine qui forment
la trame fibreuse du derme, en soutien de l'épiderme. Sans oublier
celles des glycosaminoglycanes qui comblent la matrice extracellulaire
entraînant la cohérence de ce tissu très sensible
aux radicaux libres, en particulier lors de l'exposition au soleil. C'est
ainsi que la peau perd sa souplesse et son éclat. Autre
cascade radicalaire : les radicaux libres entraînent la formation
d'une substance très nocive nommée lipofuschine, qui est
constituée d'agrégats de molécules d'acides gras
oxydées et de mélanine oxydée. Cette lipofuschine
attaque l'épithélium cutané. D'ailleurs, le taux
de lipofuschine dans le plasma sanguin est un véritable marqueur
de l'âge physiologique réel de chaque personne.
Comme on le voit, pour fabriquer les deux enzymes anti-oxydantes que sont la Superoxyde Dismutase et la Glutathion Péroxydase l'organisme (en l'occurrence le foie) a besoin de puiser dans l'alimentation et des protéines et deux oligo-éléments (le zinc et le sélénium). A défaut d'une alimentation suffisamment équilibrée et diversifiée, la prise de compléments alimentaires contenant du zinc et du sélénium est indispensable pour freiner le vieillissement de l'organisme en général, celui de la peau en particulier. La
diminution progressive de la sécrétion hormonale est aussi
un facteur de vieillissement de la peau. Pour prendre un seul exemple,
jusqu'à l'âge de 20 ans, nous produisons en quantité
de la DHEA qui influe directement sur l'éclat et la jeunesse de
la peau. Sur la BEAUTÉ en un mot. Puis cette sécrétion
va en diminuant. Lentement jusqu'à la fin de la quarantaine, puis
de plus en plus rapidement. En donnant de la déhydroépiandrostérone à des personnes âgées de 60 à 79 ans, ceci eut pour effet de réveiller les sécrétions de testostérone et d'oestrogènes en ,sommeil. Les conséquences induites furent la stimulation de la libido, l'atténuation de la sécheresse de (a peau (les hormones entraînent une meilleure hydratation de celle-ci) et une amélioration du bien être physique et psychologique. Au sens propre, les gens furent mieux dons leur peau. II y a d'autres facteurs qui influent sur le vieillissement de la peau
Sans parler de l'usage répété de produits cosmétiques souvent trop agressifs pour la physiologie si spécifique de la peau. Voilà
pourquoi le " soin dermoprotecteur " El Melaki est si
judicieux, si précieux au quotidien, en lieu et place de ces produits
qui envahissent aujourd'hui les linéaires, promus par des campagnes
publicitaires incitant à l'achat alors qu'ils contiennent certains
composants (colorants, conservateurs, parfums) pouvant induire bien des
" problèmes " et accélérer au final le
vieillissement cutané. |